D’où je viens... Du royaume des morts bien sur. Avant ? Du monde des humains. Comment je suis morte ? De froid. Pourquoi ? J’ai été jetée dehors. Par qui ? Mes parents. Je pense qu’il vaudrais mieux que je vous raconte tout dans les détails plutôt que de de répondre a de simple question telle que "comment" et "pourquoi".
Je suis née dans une famille assez aisée. J'étais fille unique. Du moins, je l’était avant que ma sœur, Saber ne vienne au monde. J’avais deux ans lorsqu’elle est née. Et c’est a partir de ce moment là que ma vie est devenue un enfer. Je ne comprend toujours pas pourquoi mais mes parents la préféré a moi. Je ne vois pas ce qu’elle avais de plus que moi. Était-elle plus jolie ? Plus intelligente ? Plus sportive ? Je n’en savais rien. Rien du tout.Pourtant, mes parents s’occuper toujours plus d’elle que de moi et, dans ma tête de petite fille, c’était normal. Au début, j'ai pensé que c’était parce qu’elle venais de naitre, qu’elle était fragile et qu’elle avais besoin d’attention. Mais petit a petit, cette compassion que j’avais pour elle s’est transformer en haine... Et j’ai fini par vouloir la tuer.


Je m’approche doucement de la petite chose qui dort paisiblement dans son lit. Cela fait maintenant six ans qu’elle a pris ma place. Six longues années où mes parents ne m’ont pas montrer le moindre intérêt. D’un coup, j’ai sentis la haine monter en moi. J’ai essayer de me calmer. Il me suffisait juste d’ignorer mes parents. Je n’avais pas besoin de tuer ma petite sœur. Non, je ne devais pas le faire. La colère de me parents serait grande et sa n'arrangerais rien. Je recule doucement puis retourne dans ma chambre. Je me suis assise sur le lit et j’ai pleuré.

- Pourquoi maman et papa te préfère a moi ?

J’ai fini par m’endormir, mais au fond de moi, je pleurais toujours.
Neuf ans plus tard, j’ai 17 ans, Saber en a 15. On était toute deux assise a la table de la cuisine, la veille de Noël. Moi, je travaillé, je tachais d’être la meilleure possible pour satisfaire mes parents. Saber, elle, se contentais de me regarder. J’avais envie de l’envoyer balader, de lui dire d’aller voir ailleurs et de me foutre la paix. Mais ma mère préparai le diner, et je ne voulais pas lui donner une raison de m’en vouloir. Puis Saber m’a souris. J’ai alors remarquer sa main. Elle se dirigeai dangereusement vers mon stylo. Je n’ai rien dit et ai continuer de réviser. C’est a partir de se moment que tout a déraper. Ma sœur a commencer a dessiner sur mon livre. J’ai déplacé mon livre et j’ai gardé le silence. Elle a alors commencé a chanter. La colère commençais a monter.

- Tu voudrais pas aller voir ailleurs ?, ai-je sifflé.

- Pourquoi faire ? Je m’amuse bien moi ici.

- Rider, laisse dons ta sœur tranquille.

- Mais maman...

- Il n’y a pas de mais.


Et voila. C’est toujours comme ça que ça se termine. Saber riais discrètement. Ma main a réagi toute seule. Je l’ai giflé. Le silence s’est installer dans la pièce. Je me suis alors rendue compte de mon geste. J’ai regarder ma mère, elle avais l’air choquer et, en même temps, très en colère.

- Rider. Sort d’ici.

- Mais maman je...

- SORT D’ICI TOUT DE SUITE !

J’ai récupérer mes affaires et je suis sortie. De l’autre coter de la porte j’ai entendu Saber. Elle disait de je l’avais frapper sans aucune raison et que je lui faisait peur. De nouveau, j’ai sentit une grande colère. Ma mère a appeler mon père. Je ne sais pas de quoi ils ont parler pendant les deux heures qui ont suivis. Mais quand j’ai vu mon père dans l’encadrement de la porte de ma chambre, j’ai su que sa aller barder. Tout c’est alors passer très vite. Mon père a pris mes affaire et m’a pousser vers la pote d’entré. Peut-être devrais-je dire « de sortie » dans se cas la. J’ai fini par être jeté dehors. La veille de Noël.

Je déambuler dans la ville. Je ne savais même pas ou aller. De plus, un homme bizarre me suivait depuis un moment. J’ai pris peur et je me suis mise a courir. J’ai fini par me faire renverser par une voiture. Je ne suis pas morte sur le coup. Je suis morte plus tard. Le conducteur avait pris peur et avait continuer sa route en me laissant sur la chausser. Je ne pouvais plus bouger et c’était une route peut fréquentée. J’ai fini par fermé les yeux pour ne plus jamais les rouvrir.

Je flottait dans le noir. J’étais comme aveugle. C’est lorsque j’ai voulus regarder ma main que je me suis rendue compte que j’étais réellement aveugle. Le hoc avec la voiture avais du endommagé un nerf ou quelque chose d’autre. La haine montais en moi. Tout sa par la faute de Saber. Tout, absolument tout était de sa faute. Je me vengerais. Ce n’était pas une menace. Mais une promesse. Puis, j'ai entendus une voix.

- Dit moi, sais-tu se que fait Dieu lorsque il s’ennuie ?

En voila un question ! Comme si j’avais que sa a penser.

- Tu ne sais pas ? Je vais te le dire alors : il joue.

- Il joue ?

- Oui, il joue.

- A quoi ?

- A des jeux terrifiant !

- Qui est tu ? D’où viens-tu ? Pourquoi me parles-tu ?

- Tu n’a pas besoin de savoir tout sa. Appelle moi juste Nightmare.

- Nightmare ? Cauchemars en anglais...

Elle n’a pas répondus. Malgré mes yeux aveugle, de deviner qu’elle souriait. Puis, elle m’a demander de choisir parmi 10 groupe, me donnant une définition pour chacun d’entre eux.

- Warth.

Juste un murmure. Juste un mot. Et sa a changer ma vie. Ou ma mort. Comme vous préférez. Je me suis retrouver devant une jeune femme. Comment je le savais ? Aucune idée. Il me semblais que mes sens était plus développer depuis un certain temps.

- La colère gronde en toi. Je la sens. Tu veux te venger ?

- Oui.

- Si je t’offre la vengeance, m’offriras-tu tes services ?

- Oui.

- Alors, qu’il en soit ainsi. Tu seras desormais mon bras droit. Tu m’obeiras et exécuteras mes ordres dans l’ombre.

- Oui. Je vous obéirais.

Une douleur incomparable c‘est emparer de mon front. J’avais mal. Je me suis évanouie.


Enfin, le passé est le passé. J’ai jurer allégeance a Warth. Je ne sais toujours pas pourquoi elle m'a choisi moi et pas un autre mais je ferais tout pour la satisfaire. Ainsi, j’aurais enfin ma vengeance...